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À quoi ressemble la vie de cheffe de projet chez nous ? Gaëlle vous en parle
21 mai 2025
21 mai 2025
En presque un an à la Fabrik à ID, Gaelle s’est imposée comme un véritable trait d’union entre les clients et les équipes techniques. Mais au-delà du titre de cheffe de projet, il y a une envie de construire, de faire avancer les choses, et de relever des défis dans un environnement agile, où tout évolue vite. Dans cette interview, elle revient sur ce qui l’a séduite à son arrivée, ses missions au quotidien, et ce que représente pour elle l’esprit d’équipe à la Fabrik à ID.
Aujourd’hui, je suis un peu la voix du client auprès des développeurs. Je m’occupe de tout ce qui est pré-déploiement, demandes d’évolution et suivi des projets digitaux. La Fabrik à ID, c’est une société qui commercialise un CRM de gestion dédié au secteur automobile. Mon rôle, c’est de faire le lien entre les besoins du client et les équipes techniques, pour que tout s’aligne au mieux.
J’avais envie d’un nouveau défi professionnel Je voulais intégrer une structure encore jeune, sans trop de process figés, où il y avait des choses à construire. La Fabrik à ID était encore une start-up il n’y a pas si longtemps, et ça m’a tout de suite attirée. Ça me plaisait d'avoir de nouvelles missions, de pouvoir mettre des choses en place sans passer par une grosse structure.
Je dirais que les principaux défis sont aujourd'hui la multiplicité des projets avec les nombreux clients qu'aujourd'hui compte La Fabrik à ID. De gérer les demandes d'évolution avec des sujets de pré déploiement, puis le suivi du client à la suite du déploiement. Il peut y avoir des imprévus techniques, il faut gérer le quotidien avec le respect des délais annoncés aux clients et continuer en parallèle les autres suivis de projets. C’est un vrai travail d’équilibriste, mais aussi ce qui rend le quotidien dynamique.
Je dirais que pour intégrer La Fabrik à ID, il faut avoir un esprit d'équipe. Ça reste une société d'environ 30 personnes, donc il faut pouvoir être curieux, s'adapter, avoir un esprit d'initiative et ne pas rester cloisonné à ses missions.
Je dirais que le moment qui m'a le plus marqué, c'est mon premier déploiement que j'ai pu gérer toute seule. Il a fallu mettre en en charge la coordination, créer des ateliers de réflexion avec le client qui allait arriver sur notre logiciel, s'adapter aux différents métiers de l'automobile car ce n’était pas ma formation de base.
Il y a eu du cadrage, de la gestion de temps, des animations et du suivi. Et en parallèle, continuer à être à l'écoute du ressenti du client et en même temps gérer la pression de ce nouveau projet.